Clair de femme

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"Du sublime au ridicule. ", voilà l'oscillation du film. L'abnégation de cette mourante qui invite son homme à la prolonger dans son remplacement par une autre femme d'abord. Puis cette Lydia annonçant avoir perdu mari et enfant dans un accident. Deux extrêmes qui amorcent un tournant dans l'ordinaire d'un gars qui jusque-là vivait sans états d'âme précis. Alors, après il y a les réalités, les inévitables rapports de force. On descend dans les tréfonds de l'intimité, passant de la grâce au plus trivial (la séquence de jargon. ), ce qui fait comprendre le sursaut que le film rencontra à sa sortie et la patine qui lui bénéficia depuis la disparition de ses deux acteurs fétiches.

je n'aime Romi que dans ses films lumineux où elle laisse libre cours à sa beauté, sa joie de vivre et son charisme (les choses de la vie, le vieux fusil ou César et Rosalie) alors je reconnais que j'ai bcp de mal à apprécier ce genre de film trop désespérant et désespéré.